Ses enfants Philip et Sophie ayant quitté la maison, la mondaine mondaine de Munich, mère et enseignante à la retraite, Angelika Hartmann (Berger) se sent seule. Inspirée par la politique de «porte ouverte» de la chancelière Merkel envers les réfugiés, Angelika décide, contre son mari, Richard (Lauterbach), d'accueillir chez elle le jeune réfugié nigérian Diallo (Kabongo). La décision concernant sa demande d'asile approchant rapidement, Diallo a reçu l'ordre de mettre bas et d'éviter les ennuis. Il y a un problème majeur: la maison de Hartmann est tout sauf paisible. Comme Diallo se lie d'amitié avec chacun des membres de la famille, ils se retrouvent confrontés à leurs propres problèmes personnels, ainsi qu'au racisme, à la bureaucratie et aux soupçons d'activité terroriste qui déclenchent un tourbillon de complications pour Diallo et les Hartmann. Souvent poussant stéréotypes et clichés sur les réfugiés et les Allemands à leurs extrêmes comiques, le film de Verhoeven mélange l'humour avec des sujets politiques contemporains chauds, créant une comédie d'acceptation de la